L’auteur-compositeur-interprète folk pop AHI, alias Akinoah H. Izarh, son nom de scène étant ses initiales qu’on prononce « aïe » a parcouru beaucoup de au cours de sept dernières années.
En 2017, il a remporté le prix de l’auteur-compositeur-interprète folk dans le cadre de la Canadian Songwriting Competition ainsi que le Prix Étoile Stingray lors de la conférence Folk Music Ontario (FMO). L’année suivante, il a remporté le prix de l’artiste de l’année lors de la même conférence. Début 2018, il est invité à donner une prestation dans le cadre de la prestigieuse série Tiny Desk Concert de la National Public Radio diffusée partout aux États-Unis. Il a depuis été mis sous contrat par la maison de disque indépendante américaine Thirty Tigers où sont également signés Jason Isbell, Patty Griffin et Sturgill Simpson, pour ne nommer que ceux-là. Il a également conclu une entente avec l’agence de spectacles Paradigm Talent qui lui a permis d’assurer la première partie de la légendaire chanteuse soul Mavis Staples au Massey Hall de Toronto. Il a donné une prestation en direct lors de l’émission de télévision américaine CBS This Morning, et en 2023, il a été l’un des cinq lauréats du Prix SiriusXM de la musique Noire canadienne décerné par la Fondation SOCAN. Il compte trois albums à son actif et la parution de son quatrième est prévue plus tard en 2024.
Au cours d’une longue conversation à bâtons rompus avec Lord Quest, responsable des relations créatives pour la musique Noire à la SOCAN, AHI a discuté de ses débuts et de sa carrière. Il a également parlé de son mentorat devenu une amitié avec le bassiste professionnel canadien de longue date et chef d’orchestre des stars Orin Isaacs, de ses racines jamaïcaines et trinidadiennes et de l’immense inspiration de Bob Marley et la façon dont le reggae et l’afrobeat ont fait le tour du monde. Il s’est ouvert au sujet du rôle des rêves prophétiques dans son processus créatif, de son lien avec les auditeurs et ses fans, du soutien de sa famille, notamment celui de son épouse et gérante, Ashatèn Izarh, et aussi de la foi et de l’intention qui propulsent sa création musicale.
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