Across The Board, un mouvement de plaidoyer pour la parité hommes-femmes dans les conseils d’administration des entreprises ayant un impact sur l’industrie canadienne de la musique, a démontré que la participation des femmes a plus que doublé pour atteindre 40 pour cent à la fin de 2018.

En 2017, Across The Board a étudié les conseils d’administration de 30 entreprises de l’industrie canadienne de la musique et a constaté que seulement 19 sièges étaient occupés par des femmes. En décembre 2018, l’organisme a distribué un sondage afin de colliger les informations sur le progrès de son initiative de parité hommes-femmes.

À l’heure actuelle, la SOCAN surpasse la moyenne de l’industrie avec 44 % des sièges de son conseil d’administration occupés par des femmes. De plus, la parité hommes-femmes est atteinte dans son équipe exécutive, et pas moins de 64 % de gestionnaires de son équipe de direction s’identifient en tant que femme.

Par ailleurs, tant le Panthéon des auteurs et compositeurs canadiens et la Fondation SOCAN, qui sont propriété de la SOCAN, sont dirigées par des femmes, et plus de 60 % des postes à plein temps à la SOCAN sont pourvus par des femmes.

Nous nous sommes assurés de manière proactive que nos pratiques d’embauche sont justes et équitables. Nos dirigeants et notre équipe des ressources humaines collaborent étroitement afin d’adopter une approche inclusive pour attirer, embaucher et garder à notre emploi les personnes les plus talentueuses sans égard à leur sexe, leur ethnicité, ou leur orientation sexuelle. La SOCAN aspire à l’inclusivité, à l’égalité et à l’équité.

« Nous sommes ravis et fiers de notre progrès et de notre surpassement au chapitre de la parité hommes-femmes », a déclaré le chef de la direction de la SOCAN, Eric Baptiste. « Il y a encore du chemin à faire et nous continuons d’adhérer à l’initiative d’Across The Board en ce qui concerne le recrutement de femmes comme membres de notre conseil d’administration, de notre exécutif, de notre équipe de direction et de notre effectif d’employées, ainsi qu’à l’échelle de tout l’écosystème musical canadien. »